Défense de la langue française   
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DLF, n° 241

LE FRANÇAIS, QUELLE HISTOIRE !, de Jean-Benoît Nadeau et Julie Barlow
Télémaque, 2011, 462 p., 22 €
Non, le français n’a pas dit son dernier mot, comme le proclame ce fabuleux ouvrage, propre à réjouir nos adhérents et tous ceux pour qui notre langue n’est pas et ne sera jamais une vieille lune obsolète. Et les auteurs, deux journalistes canadiens, une anglophone et un francophone, nous le prouvent à grands renforts de chiffres rassurants, comme le nombre de francophones dans le monde, passés de 200 à 220 millions en 2010. Ils nous citent la quantité d’étrangers de tous bords qui ont adopté aujourd’hui la langue de Montaigne, Racine, Voltaire, Proust, Yourcenar...
Surtout, ils nous présentent une biographie inédite du français, drôle et impertinente, qui tord le cou à quelques poncifs.
Comment est né le français et... le purisme – Si Richelieu le veut – La guéguerre des dicos – Le français rebelle – Le français par choix – Le vaisseau amiral de la Francophonie... La fin du français ? Voilà ce que nous offrent deux polyglottes attentifs et passionnés, auteurs également d’Ils sont fous, ces Français, qui ont eu l’énorme chance (!) de vivre trois années à Paris... Sept tableaux d’une grande limpidité et une abondante bibliographie. Nicole Vallée

Jean-Pierre Colignon vient de publier dans la collection « Les timbrés de l’orthographe », des éditions de l’Opportun (11 € chacun):
« TOUS LES CHEMINS MÈNENT À ROME » ... ET 100 AUTRES EXPRESSIONS POUR FAIRE LE TOUR DU MONDE (182 p.)
Parmi toutes les expressions que nous ont laissées en héritage l’Histoire, la littérature, la Bible, les mythologies, la politique ou le théâtre, Jean-Pierre Colignon a eu la bonne idée d’en rassembler une centaine où figure un nom de lieu (pays, région, ville, cours d’eau, montagne, rue...). Certaines sont utilisées à longueur de journée comme « Ce n’est pas le Pérou », « Bâtir des châteaux en Espagne » ou « Aller à Canossa », mais d’autres, tout aussi pittoresques, ne nous sont guère familières et pourtant elles ne manquent ni de saveur ni de racines intéressantes. Comme « être de la courtille » (être à court d’argent) ou « aller à Tataouine » (être envoyé dans un trou perdu). La petite histoire et de nombreuses anecdotes en fournissent la genèse. Et l’auteur, qui ne manque pas d’esprit, nous fait part de ses observations. Regardez bien si vous survolez Troyes : cette ville a vraiment la forme d’un bouchon de champagne. Et Jean-Pierre Colignon, qui « n’est pas de Lunel » et « ne prendra jamais Paris pour Corbeil », nous offre bien des réflexions pétillantes, graves, souriantes ou discrètement égrillardes, de Landerneau à Zanzibar, de Dantzig à Cancale... Prenons le bon chemin en lisant Colignon, et pour aller à Rome, impossible de se tromper ! Jacques Dhaussy

LES MOTS DE TOUS LES RECORDS (158 p.)
Jean-Pierre Colignon nous régale, une fois de plus, avec son nouvel ouvrage consacré à certains aspects de notre richissime langue française. Ces Mots de tous les records constituent un inventaire ludique et passionnant de noms et de performances langagières diverses dues à des virtuoses de notre langue, qu’ils soient quasi anonymes ou alors illustres, comme Victor Hugo. Quel est le nom le plus long de notre langue ? « Anticonstitutionnellement », mais seulement si l’on exclut le langage scientifique le plus spécialisé. Si on l’inclut, il s’agit alors d’un substantif géant que je vous épargne, le nom savant de la riboflavine, ou vitamine B. Jean-Pierre Colignon nous donne – entre autres – des listes de termes comprenant le plus grand nombre donné d’une lettre. Pour le a : c’est bien « abracadabrant » voire « abracadabrantesque », ce dernier ressuscité par Jacques Chirac il y a quelques années, comme on s’en souvient. Je choisis cet exemple à dessein pour souligner une qualité essentielle du livre, et caractéristique comme toujours de l’approche savante mais souriante, et non rébarbative de notre bon maître dont la richesse de vocabulaire impressionnante ne comprend pas le mot « dormir », semble-t-il : des notes de culture générale qui touchent au cinéma, aux écrivains et poètes, à l’histoire ou à la chanson.
Bien entendu, un tel opuscule donne le loisir au lecteur de tenter d’ajouter des entrées à celles choisies par l’auteur. Parmi les digrammes les plus rares (un son pour deux lettres), oz se trouve dans Les Carroz-d’Arâches, une commune de Haute-Savoie : il faut le savoir. On ajoutera évidemment le film Le Magicien d’Oz, avec Judy Garland.
Pour les noms composés comprenant le plus de traits d’union, arrive en deuxième position un « je-ne-sais-quoi ». Jean-Pierre Colignon nous gratifie des paroles d’une chanson créée par Yvette Guilbert avec ce substantif ! Il en existe au moins une autre, qui en fait son argumentaire, si on peut dire : Un P’tit Je Ne Sais Quoi par les Chats sauvages avec Dick Rivers, mais orthographiée sans trait(s) d’union en 1961 ! Vous constaterez que ce petit volume peut donner matière à de nombreuses heures de plaisir sans cesse renouvelé, tout en enrichissant nos connaissances de manière exponentielle. Un grand bravo donc ! Christian Nauwelaers

LE CHAT, de Jean Pruvost, préface de Philippe Geluck, nombreuses gravures d’époque
Honoré Champion, « Champion les mots », 2011, 150 p., 9,90 €
S’il fut dieu en Égypte, le chat n’en est pas moins souvent martyrisé en Europe. Jusqu’à Louis XV, il y eut encore des bûchers où l’on jetait des chats noirs, serviteurs de Satan, bien sûr. L’Encyclopédie ose affirmer que « la tête de chat réduite en cendre soigne les yeux » et que sa « fiente étalée sur le crâne soigne la calvitie ». Heureusement, d’après Pierre Larousse, les amoureux des chats remontent à la plus haute antiquité, à commencer par Homère, tout comme le divin Platon, puis ce furent Mahomet, Du Bellay, Ronsard, Richelieu, Gautier, Baudelaire...
De nos jours, d’innombrables bandes dessinées le célèbrent, que l’auteur se fait une joie de nous présenter. Retrouvons le chat dans divers dictionnaires, citations tirées d’auteurs grands et petits, des proverbes, des dictons. N’en retenons qu’une : « Animal surnaturel qui vous regarde fixement, et avec une grande compassion ; car seul le chat sait où vous entraîne votre destin minuscule. » Index des mots et noms propres, bibliographie. Une collection offrant un voyage au coeur des mots, propre à enchanter ceux qui veulent découvrir ou approfondir le thème présenté. Nicole Vallée

LE PACTE IMMORAL. COMMENT ILS SACRIFIENT L’ÉDUCATION DE NOS ENFANTS,
de Sophie Coignard
Albin Michel, 2011, 288 p., 19,50 €
Par l’auteur, grand reporter au Point, d’une quinzaine d’ouvrages sur les dysfonctionnements et les injustices de la société hexagonale, une bouleversante enquête concernant les aberrations et les dérives de l’Éducation nationale. On attribue des CAPES à des candidats qui n’ont pas eu la moyenne, et qui seront affectés à des classes difficiles... Une pédagogie « nouvelle » où l’orthographe est « matière à discussion », ce qui amène certains enseignants à faire faire des dictées en cachette. Une farandole de ministres, tous acharnés à faire passer « leurs » réformettes. Des idéologues, des syndicats qui, en toute impunité, mènent l’école à la ruine, grâce à un révoltant « pacte immoral ». « L’école des fous »... « Ministres et otages »... « Diafoirus est de retour »... « Le vrai patron est à Bercy ». Ce document féroce, non sans être divertissant, sera-t-il lu, compris et efficace ? Nicole Vallée

UNE LANGUE VENUE D’AILLEURS, d’Akira Mizubayashi, préface de Daniel Pennac
Gallimard, « L’un et l’autre », 2011, 278 p., 21,50 €
Exceptionnellement pour cet ouvrage, qui se lit comme un roman, voici deux avis :
• Ah, quel délicieux récit, propre à combler tous nos adhérents, nos amis et connaissances, tous ceux qui ont des liens admiratifs et affectueux avec la langue française ! Une histoire toute simple, cependant : comment un jeune Japonais, dans les années 1970, juge son idiome natal paralysé par le conservatisme et, approuvé, aidé par son père, se lance à coeur perdu, pour renaître dans la conquête d’un nouvel outil à penser, la langue française, qu’il va étudier et maîtriser parfaitement, à l’université de Montpellier. Bien sûr, cela ne s’est pas fait tout seul. Il s’agit d’un long et patient apprivoisement... couronné par un séjour de trois ans rue d’Ulm, un mémoire sur Rousseau et le mariage avec une Française. Nicole Vallée

• Ceci n’est pas nouveau : depuis longtemps, les amoureux les plus ardents de notre langue sont souvent des étrangers, qui découvrent avec ravissement sa beauté et sa finesse.
Jeune étudiant japonais désabusé par la phraséologie creuse soixante-huitarde qui gâche ses études (eh oui, même au Japon), notre intellectuel exigeant se prend de passion pour un compatriote philosophe et essayiste, Arimasa Mori, venu vivre à Paris dès 1952 et dont les textes le bouleversent. L’auteur apprend le français avec une véritable frénésie, décuplée par sa rencontre avec l’oeuvre de Rousseau et par... Mozart, en particulier Les Noces de Figaro. Venu étudier à Montpellier grâce à une bourse du gouvernement français, Akira Mizubayashi poursuit avec opiniâtreté sa quête de perfectionnement, et il rencontre même l’amour en la personne d’une étudiante : Michèle. Aujourd’hui, il enseigne à Tokyo et ce livre, écrit dans un style classique et épuré, est un témoignage vibrant pour notre langue, qui est aussi un mode de pensée, de culture et de vie. La citation qui suit donne la mesure de l’ouvrage : « Le plaisir éprouvé dans la recherche d’une liberté possible au sein même des limitations prescrites par la langue française est incommensurable. » On ne saurait mieux dire... Christian Nauwelaers

LE MARIAGE, de Khalid Alaoui, préface d’Alain Rey, nombreuses gravures d’époque
Honoré Champion, « Champion les mots », 2011, 144 p., 9 €
« Le mariage, nous dit Montaigne, a pour sa part l’utilité, la justice, l’honneur et la constance... » Mais pour son ami Charron : « ... un rude et dangereux marché et une bien épineuse et poisante liaison, s’il est mal rencontré... » Et Duckett de conclure : « ... le mariage est la grande affaire de l’homme ici-bas... que d’intérêts s’y trouvent engagés, la liberté, la dignité humaine, le présent et l’avenir ! » Notre auteur nous présente donc : « Les premiers pas du mariage au siècle de la Renaissance » ; « Le mariage au siècle des philosophes » ; « Le mariage dans les grands dictionnaires de la seconde moitié du XIXe siècle » ; « Le mariage de nos jours : mode d’emploi »... Une citation de Victor Hugo pour terminer : « Le mariage est une greffe : ça prend bien ou mal. » Index des mots et des noms propres, bibliographie. Nicole Vallée

Deux rééditions ultra-bienvenues.
LES MOTS-CARESSES, PETIT INVENTAIRE AFFECTUEUX, de Marie Treps
CNRS Éditions, 2011, 434 p., 14,90 €
Oui, une savante linguiste et sémiologue peut aussi être l’auteur d’ouvrages de gai savoir. Qu’il est donc réjouissant celui-ci, consacré aux tendres mots de l’affection. Ces mots hypocoristiques sont extraits de tous les domaines de notre vie, de tout ce que nous offre notre monde, la faune, la flore, les hommes, la société : mon chaton et mon canard, mon ourson et mon renard... ma carotte et mon feu follet... ma brioche et ma poulette... ma canaille et mon polisson... mon angelot et ma diablesse... ma pitchoune et ma bobonne... ma houri et ma mousmé... Il vous faudra des années pour charmer de tous ces mots vos proches et votre entourage. Abondante bibliographie (avec aussi les publications, films, émissions télévisées, enregistrements) et index. Nicole Vallée

UN POINT, C’EST TOUT ! LA PONCTUATION EFFICACE, de Jean-Pierre Colignon
Victoires éditions, 2011, 158 p., 13 €
Que serait aujourd’hui le meilleur des textes sans une ponctuation adéquate et pertinente, même si nos ancêtres ne s’en embarrassaient guère ? Un grand spécialiste de la langue française, qui nous honore de son amicale collaboration, nous présente chacun des treize signes de ponctuation, avec leurs différentes utilisations, illustrées d’exemples tirés de la littérature et de la presse. Il n’a aucun mal à nous persuader qu’un texte ne peut être intelligible, dénué d’ambiguïtés, que s’il est pourvu à bon escient de ces signes indispensables qui « lui confèrent une organisation stylistique, des inflexions à la fois fines et variées ». Nicole Vallée

L’ART DE SE TAIRE, de l’abbé Dinouart, préface d’A. de Baecque Payot,
2011, 144 p., 6 €
Que voilà une réédition bien inspirée d’un précieux petit traité datant de 1771. Certes, le brave ecclésiastique, polémiste, érudit et bel esprit, entendait conseiller le silence d’abord aux « nouveaux philosophes » de son temps, les encyclopédistes notamment, et cela, en matière de religion. Cependant, la plupart de ses maximes et conseils demeurent d’une surprenante actualité. « Le temps de se taire doit être le premier dans l’ordre ; et on ne sait jamais bien parler qu’on n’ait appris auparavant à se taire. » Le prolifique abbé Dinouart, auteur de nombreux ouvrages de morale, de piété, de récits édifiants, a aussi écrit Le Triomphe du sexe, destiné à « démontrer que les femmes sont en tout égales aux hommes ». Ce qui ne manqua pas de lui valoir les foudres de son évêque... Nicole Vallée

MORCEAUX EXQUIS, de Federica Tamarozzi et Gilles Boëtsch
Éditions Beaux-Arts, 2011, 47 p., 10 €
(à commander sur l’internet à : beauxartsmagazine.com)

Ce très joli ouvrage relié, abondamment et excellemment illustré, est le catalogue d’une exposition de la Fondation EDF, présentant toutes sortes d’objets, beaux, curieux, inattendus, charmants, voire bizarres autant qu’étranges, en rapport avec les principales parties du corps humain. La bonne, la géniale idée fut d’accompagner tous les tableaux explicatifs d’un florilège de proverbes, dictons, aphorismes de multiples provenances, ô combien pertinents, que vous allez retrouver ici. Il y en a de très connus, mais d’autres pas du tout, dont certains sont énigmatiques : « Le mensonge a les jambes courtes » ; « Morsure de brebis ne passe jamais la peau » ; « Bouche fraîche et pieds au sec » ; « Boire selon sa barbe » ; « L’oeil du patron engraisse le cheval » ; « La loi a le nez en cire ». Puisse votre cerveau ne pas loucher... Nicole Vallée

CRITIQUE LITTÉRAIRE. LE TALENT EST TOUJOURS D’ACTUALITÉ, d’Alexandre Vialatte
Arléa, 2010, 148 p., 17 €
Mais oui, comme le précise le sous-titre, le talent est toujours d’actualité, de même que les chroniques littéraires abondamment fournies par l’auteur à un quotidien de province, un hebdomadaire et un mensuel nationaux, ne sont en rien démodées. La plupart ont été écrites – et avec quelle verve ! – il y a une soixantaine d’années. Certaines « gloires » de l’après-guerre sont tombées dans l’oubli, d’autres se sont imposées (à tout jamais ?). Toutes méritaient de figurer dans ce recueil, de Jean Anglade à Louise de Vilmorin, en passant par Buzzati, Dumas, Green, Ionesco, Mauriac, Paulhan..., soit quarante-deux en tout ! Et une devinette, une, pour terminer et vous allécher. De qui est-il question : « D’aucuns le prenaient pour un éléphant qui piétinait un jardin de Le Nôtre, mais ils s’apercevront qu’il danse un pas classique, qu’il est subtil et traditionnel. » (La Montagne, 1er février 1970.) Nicole Vallée
Réponse : Eugène Ionesco.



Signalons aussi :
  • PÉRIL EN LA DEMEURE. REGARD D’UN AMÉRICAIN SUR LA LANGUE FRANÇAISE, de Robert J. Berg (France Univers, 2011, 176 p., 25 €).
  • AU PLAISIR DES MOTS. LES MEILLEURES CHRONIQUES !, de Claude Duneton (Points, « Le goût des mots », (2011, 330 p., 7 €).

  • • À paraître, de Jean-Pierre Colignon :
  • PARTICIPE PASSÉ (Victoires Éditions).
  • ÉVITEZ DE DIRE (Éditions de l’Opportun, « Les timbrés de l’orthographe »).

  • * * *

  • LES MOTS DE MA VIE, de Bernard Pivot (Albin Michel, 2011, 366 p., 20 €).
  • LE FRANÇAIS, NOTRE MAISON. PETITS ESSAIS SUR L’USAGE DU FRANÇAIS D’AUJOURD’HUI, textes réunis par Jean-Marie Vodoz (Éditions Zoé, 2011, 96 p., 13 €).
  • HISTOIRE DU VOCABULAIRE FRANÇAIS. ORIGINES EMPRUNTS ET CRÉATION LEXICALE, d’Olivier Bertrand (Éditions de l’École polytechnique, 2011, 230 p., 17,50 €).
  • MALIN COMME UN SINGE, RIRE COMME UNE BALEINE. ORIGINE, HISTOIRE ET SIGNIFICATION PRÉCISE DE 102 EXPRESSIONS ZOOLOGIQUES, de Jean Maillet, préface de Jean-Pierre Colignon (Éditions de l’Opportun, « Les timbrés de l’orthographe », 2011, 154 p., 9,90 €).
  • LES BIZARRERIES DE LA LANGUE FRANÇAISE. PETIT INVENTAIRE DE SES SUBTILITÉS, de Daniel Lacotte (Albin Michel, 2011, 222 p., 12 €).
  • BOLCHEVIK, MAZOUT, TOUNDRA ET LES AUTRES. DICTIONNAIRE DES EMPRUNTS AU RUSSE DANS LES LANGUES ROMANES, d’Éva Buchi (CNRS Éditions, 2010, 720 p., 39 €).
  • LE LIVRE DE LA LANGUE FRANÇAISE, d’Agnès Rosenstiehl, illustrations de Pierre Gay (Gallimard jeunesse, 2010, 112 p., 12,90 €).
Nos adhérents publient
  • Daniel Miroux et son équipe, dans le bulletin de l’Alliance Champlain (no 54), et Edgar Fonck, dans Nouvelles de Flandre (n° 61) relatent la marche en faveur de la langue française, organisée par Albert Salon et qui a eu lieu à Paris le 18 juin.
  • Le Bulletin de l’Académie nationale de médecine (T. 194), publie le discours prononcé par le professeur Pierre Delaveau à l’occasion de son éméritat. Celui-ci y faisait le point sur l’évolution du Dictionnaire de l’Académie nationale de médecine (voir DLF, no 238, p. 29) et définissait les termes éméritat et émérite.
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