Anne Rosnoblet, administratrice de notre
association, parcourt Paris armée de ses
autocollants sur lesquels il est inscrit :
« Non au tout-anglais ! ». Elle traque les
anglicismes sur les façades des commerces
et les affiches. Son activisme a été remarqué
par des journalistes de France Info qui lui
ont consacré un article sur leur site internet
à l’occasion de la Semaine de la langue française
et de la Francophonie. Anne Rosnoblet
en a profité pour dénoncer l’emploi de
l’expression « click & collect ». C’est les
nombreuses actions individuelles qui participent
fortement à l’efficacité de notre
association.
La presse nous
apprend qu’un centre
de la francophonie a
été ouvert dans une
petite ville d’Arménie,
Vardenis (12 700 habitants),
et que des cours de français seront
dispensés à des élèves de 11 à 15 ans. Les
services de l’ambassade de France en
Arménie ont répondu avec efficacité à la
demande locale. Cette information peut
sembler mineure, mais elle illustre la
force des liens culturels qui unissent nos
deux peuples. Elle confirme l’appétence de
beaucoup de pays pour notre langue. Ne les
décevons pas.
DLF et sa délégation des Pays de Savoie ont
rejoint le collectif Oser le français créé à
l’initiative de Louis Maisonneuve, président
de l’Observatoire des libertés pour mener
une action contentieuse groupée.