Défense de la langue française
• Siège administratif : 222, avenue de Versailles 75016 Paris • 01 42 65 08 87 • dlf.paris@club-internet.fr •
DLF, n° 243
CONTRE LA PENSÉE UNIQUE, de Claude Hagège
Odile Jacob, 2012, 256 p., 21,90 €
Claude Hagège, linguiste, professeur honoraire au Collège de France, nous offre
un livre passionnant et d’une grande liberté de ton.
À quelle pensée s’en prend-il ? À la pensée anglo-saxonne, qui domine le français
dans tous les domaines y compris celui de la diplomatie où la précision du français
aurait dû l’emporter : or, la langue n’est pas seulement un moyen véhiculaire
mais une langue chargée de tout le poids d’une culture inimitable.
L’auteur, avec prudence, ne s’en prend pas à l’anglais, mais défend le principe de la diversité des
langues romanes. Claude Hagège s’exclame donc : « Résistez » !
Il ne s’agit pas aujourd’hui, écrit-il, d’extermination physique mais d’asservissement intellectuel,
politique, économique. La France doit entrer en résistance, celle-ci est d’autant plus urgente et
indispensable qu’elle doit s’opposer non pas à un front politique ou militaire explicite mais à
une action que ces formes pacifiques rendent encore plus redoutables.
En effet, la pensée unique est loin d’être immédiatement perçue comme telle par la base d’une
population, qui, en France notamment, est encore aveugle.
Au fil de la lecture sont passés en revue les scientifiques, l’orthographe, la phonétique, les
acronymes, la formation et la communication. Enfin, l’auteur définit les « chemins de l’action ».
Si vous aimez notre langue et redoutez que nos élites, qui voient le monde à travers l’anglais, ne
s’abandonnent à ce courant irrésistible fondé sur le mythe de la « globalisation », dont il
démonte les rouages avec sagacité... lisez Claude Hagège !
Jean-Paul Clément
Encore deux bijoux de 144 pages dans la collection « Champion les mots », à 9 € seulement,
offerts en 2011 par la maison Honoré Champion :
LE CHOCOLAT « QUI FAVORISE LA PARESSE ET DISPOSE À CES VOLUPTÉS QU’INSPIRE UNE VIE
LANGOUREUSE... » ?
de Nicole Cholewka, avec la collaboration de Jean Pruvost, préface de Patrick Roger
Amateurs de chocolats de France, Navarre et autres lieux, pourléchez-vous ! De la
préface par le meilleur ouvrier de France, à l’historique de l’inestimable fève, aux
citations, recettes, expressions, termes spécifiques la concernant, rien ne vous
manquera sauf cette « nourriture des dieux », vers laquelle vous allez vous précipiter
afin, entre autres, que « votre pensée se dégage avec facilité » (A. Dumas), ou que « les plus méchantes
compagnies vous paraissent bonnes » (Mme de Sévigné). Brique, pastille, bille, croquette, papillote,
tablette, barre, suçon... Rappelons encore que le chocolat noir serait le plus efficace des
antidépresseurs et qu’il existe à Paris depuis 2010 un musée à sa gloire. Parcours chronologique,
index des mots et noms propres, (abondante) bibliographie. Jolies reproductions de dessins et
photos d’autrefois.
LE PARFUM « QUI FORTIFIE LE CERVEAU ET CHASSE CETTE LÉGÈRE RÊVERIE QUI ACCABLE L’ESPRIT... » ? de Magalie Gobet et Emmeline Le Gall, préface de Jean Pruvost
Si, dans l’Antiquité, on n’hésitait pas à parfumer les chevaux, le métier des parfumiers du Moyen
Âge, qui tenaient de l’astrologue voire du sorcier, devenus parfumeurs, n’a cessé de se perfectionner. Et, bien entendu, il a ses termes propres, forts et raffinés, tels que
aromate, baume, benjoin, cassolette, cédrat, effluve, musc, pomandre, vétiver, ylangylang...
Pour nommer parfums et eaux de toilette, l’imagination n’est pas en reste,
de Bal musqué à Mitsouko et à l’Eau d’Yssey... D’Arpège à Natsumi, au sujet desquels
foisonnent des anecdotes embaumées. Pour les expressions, proverbes et citations,
on n’a que l’embarras du choix : « Mettre au parfum » – « Si votre coeur est une rose,
votre bouche dira des mots parfumés » (Russie) – « Les parfums, les couleurs et les sons
se répondent » (Baudelaire) – « La femme qui a le meilleur parfum est celle qui n’est pas parfumée »
(Plaute)... Index des mots et noms propres. Bibliographie. Délicates illustrations anciennes.
Nicole Vallée
DICTIONNAIRE AMOUREUX DES DICTIONNAIRES, d’Alain Rey
Plon, 2011, 1000 p., 27 €
Le propre d’un dictionnaire, c’est de toucher un nombre considérable de
domaines. Celui-ci n’échappe pas à la règle... Il est sans doute le volume le plus
important de cette collection et si l’on me disait qu’Alain Rey, en se limitant à
mille pages, s’est trouvé quelque peu à l’étroit, cela ne m’étonnerait pas. Par
nature, un dictionnaire, même spécialisé, même centré sur son sujet, touche à des
sciences fort différentes. Quand il s’agit des mots, la phonétique, la philologie, la sémantique, la
sémiologie, la synonymie, la typographie, les niveaux de langage, tout entre en jeu et l’auteur,
dès l’avant-propos, nous prévient : « Ce livre met en alphabet un certain nombre de thèmes, de
personnages, d’oeuvres en rapport avec cet objet mal connu, appelé en français d’un sobriquet aimable,
le “dico”. » Illico, j’ai cherché « néologie ». Le mot ne figure pas dans les articles énumérés à la
table des matières, mais que de découvertes, non seulement parmi les mots et leur origine
parfois secrète ! Mais Rabelais, avec ses cascades de termes et vocables, est bien présent. Cet
ouvrage monumental est aussi un hommage rendu à ceux qui ont composé des dictionnaires,
non seulement en France, mais en Europe et dans le monde entier, depuis l’Antiquité et jusqu’à
une époque plus récente, de l’Onomasticon du IIe siècle aux dictionnaires de la langue arabe, en
passant par l’argot, les travaux des frères Grimm, le Dictionnaire superflu de Pierre Desproges, les
dictionnaires érotiques. Alain Rey vous organise des rendez-vous avec des auteurs connus ou
malheureusement inconnus. Il vous raconte naturellement l’histoire du Littré, du Petit Robert,
du Larousse et, bien entendu, du Dictionnaire de l’Académie. Ouvrage très vivant, émaillé
d’anecdotes et de figures pittoresques, ce monument d’érudition est aussi une « célébration »
très accessible de la parole et de l’écrit. Bref, passionnant !
Jacques Dhaussy
LANGUE FRANÇAISE EN PÉRIL, de Catherine Girard-Augry,
Éditions Glyphe, 2011, 148 p., 15 €
Pourrais-je me contenter de reproduire la phrase choisie par Wiaz pour son
illustration de couverture, où un professeur annonce à ses élèves, d’origines
« diverses » : « Dorénavant, vous apprendrez l’anglais dès trois ans... Le français, lui,
devient facultatif... » Non, ce serait vraiment tragique... Heureusement, il est des
auteurs pour « lever l’étendard contre ceux qui... salissent, abâtardissent, avilissent
notre belle langue » (Albert Salon) et aussi des associations comme la nôtre. L’ouvrage compte
trois parties : La langue française, une longue histoire – Les « ennemis » de la langue française –
La nécessité de demeurer vigilants. Nous avons droit à de précieux tableaux sur les sigles et acronymes – Abréviations – Langage texto – Charabia « gallo-ricain » – Néologismes,
barbarismes, impropriétés... Vous n’avez sans doute nul besoin que je vous traduise : 1. Être
requis par la problématique du quotidien. 2. Une énergie conceptuelle court-circuitée au niveau
de la médiation. 3. La motricité sémantique appliquée... Là, ce ne sont même pas des mots
étrangers, qui prétendent moderniser notre langue ! Bibliographie.
Nicole Vallée
Solution (j’ai pitié de vous) : 1. S’occuper de tout chez-soi. 2. Avoir du mal à se faire comprendre. 3. L’écriture.
PETIT DICTIONNAIRE DES INJURES POLITIQUES, sous la direction de Bruno Fuligny
L’Éditeur, 2011, 515 p., 19 €
Campagne présidentielle oblige (?), de tous côtés partent les noms d’oiseaux, les
jeux de mots plus ou moins subtils, les flèches acérées qui, tels des boomerangs,
reviennent frapper ceux qui les ont tirées. X est un pitbull à tête de Snoopy –
Y porte un nom de cheval de course, mais n’a jamais couru – Z a une colonne
vertébrale en bâton de guimauve. Quant à W, il donne l’impression de l’amant qui
craint la panne... Et en veux-tu et en voilà...
Eh bien, chers Déèléfiens, tout cela n’est que brise légère comparée à ce qui s’éructait jadis sur
les bancs de l’Assemblée ou dans les colonnes des journaux. De qui parle le général Koenig :
« C’est le fils d’un dirigeant soviétique et d’une juive bulgare ? » ; Clemenceau : « On n’attelle pas un
pur-sang avec une grenouille. » ; Gambetta : « Quand même il vivrait cent ans, il ne sera jamais qu’un
étourneau malfaisant. » ; Mirabeau : « Ce chat qui a bu du vinaigre. » ; Talleyrand : « Il fait un sale
métier, mais il le fait salement. » ; Chirac : « L’homme qui n’a été exceptionnel que dans la trahison. » ?
Index des insulteurs. Bibliographie.
Nicole Vallée
Réponses : Edgar Faure ; Aristide Briand ; Clemenceau ; Robespierre ; Fouché ; Giscard d’Estaing.
PRENDRE LA DÉMOCRATIE AUX MOTS. POUR UNE RÉAPPROPRIATION CITOYENNE DE LA LANGUE ET DE
SES USAGES, de Claudie Baudino
L’Harmattan, « Questions contemporaines », 2009, 156 p., 15 €
Une politologue nous l’affirme : tout comme les citoyens en politique, les usagers
ont le droit – voire le devoir – de participer à un débat linguistique toujours
confisqué par des « spécialistes », car derrière les querelles de mots, il s’agit bel et
bien de démocratie. Les titres des chapitres suivants sont aussi alléchants que révélateurs
: « Célébrer l’inégalité entre les sexes » ; « Rejeter l’étranger » ; « User du paternalisme » ;
« Conforter le nul dans sa honte » ; « Des mots pour garantir une égalité formelle » ; « On peut
être immigré mais rassurant » ; « On peut être femme mais grand écrivain »...
Cet ouvrage souvent provocant se termine par un souhait : Que diversité et multitude puissent
conquérir leur droit de cité.
Nicole Vallée
DICTIONNAIRE IMPERTINENT DU POLITIQUE, de Paola de La Baume et Emmanuel Giannesini, illustrations Bonaventure.
François Bourin éditeur, 2011, 248 p., 24 €
Pas moins de 164 notions, termes, personnages, institutions, nous sont présentés
par ordre alphabétique, définis, étudiés, distingués avec un regard et un humour
aussi décapants qu’instructifs par deux jeunes spécialistes fourvoyés dans deux grandes institutions de la République. D’Abracadabra à Zedong, de Blog à Sondages, de
Constitution à Médias, en passant par de Gaulle, Jésus, Montesquieu, Vichy... Tout ce que l’on
peut en dire, avec une désarmante naïveté, une parfaite mauvaise foi, ou une imparable
perspicacité. Il y a une classification des otages... À chaque stade d’une carrière, le juste choix de
l’épouse... Le fascisme a laissé derrière lui des autoroutes... Aujourd’hui, on débloque, on
épongera demain... Le pouvoir, ce sont ceux qui en ont le plus qui en parlent le mieux. Et pour
terminer, une devinette : En parlant d’un homme politique, qu’est-ce que le test de la voiture
d’occasion ? Index complet des noms et des auteurs cités.
Nicole Vallée
LA POLITIQUE EN CITATIONS, DE BABYLONE À MICHEL SERRES, PETIT MANUEL DE SAGESSE POLITIQUE,
Chez l’auteur (courriel : csylvere2000@yahoo.fr, tél. 03 44 79 08 86), 2008, 180 p., 12,50 €
Ce « petit manuel de sagesse politique », en 600 auteurs et 2 500 citations, nous offre
un savoureux panorama de la sagesse (!?), des conseils plus ou moins avisés, de
l’humour, du désenchantement voire de la résignation de ceux qui entendent nous diriger et de
ceux aussi qui les observent et les jugent. Vous serez surpris (charmés ?) par le modernisme de
certaines. « Jeunes gens malfaisants et paresseux... », décrétait un auteur babylonien, 3 000 ans avant
notre ère. « L’élite, c’est la canaille. » – « Aimez qui vous résiste et croyez qui vous blâme. » – « Les
meilleures lois naissent des usages. » – Enfin, cerise sur un savoureux gâteau : « La femme idéale...
dure à la peine, sert les hommes à table, ne s’assied jamais avec eux, ne parle pas... » Régalez-vous.
Nicole Vallée
Signalons aussi :
- LA RANÇON DE LA GLOIRE. LES SURNOMS DE NOS POLITIQUES, de Marie Treps (Seuil, 2012, 156 p., 13,50 €).
De Jean-Joseph Julaud :
- LE FRANÇAIS CORRECT POUR LES NULS (Éditions First, 2011, nouvelle édition, 438 p., 22 €).
- ÇA NE VA PAS ? MANUEL DE POÉSIETHÉRAPIE (Le Cherche-Midi, « Espace », 2012, 160 p., 8 €).
- LE COLLÈGE UNIQUE OU L’INTELLIGENCE HUMILIÉE. LA FIN DES UTOPIES ?, collectif, préface de Laurent Lafforgue
(François-Xavier de Guibert, 2011, 288 p., 24 €).
- PRIVILÈGE ET RAYONNEMENT DU FRANÇAIS DU XVIIIE SIÈCLE À AUJOURD’HUI, d’Axel Maugey (à paraître aux
éditions Honoré Champion).
*********
- PAROLES, PAROLES. FORMULES DE NOS POLITIQUES, de Frédéric Pommier (Seuil, 2012, 202 p., 14 €).
- FOU FORÊT, de Philippe Barthelet (Pierre-Guillaume de Roux Éditions , 2012, 306 p., 20 €).
- 11 + 1 PROPOSITIONS POUR DÉFENDRE LE FRANÇAIS, de Xavier Combe (L’Harmattan, 2011, 68 p., 10,50 €).
- DICTIONNAIRE OUVERT JUSQU’À 22 HEURES, de l’académie Alphonse Allais (Le Cherche-Midi, 2011, 256 p., 17 €).
- LE PALINDROMNIBUS, de Gérard Durand (Les Dossiers d’Aquitaine, 2011, 159 p., 15 €).
- FAIRE SON BEURRE. PETIT DICTIONNAIRE DES EXPRESSIONS IMAGÉES, d’Agnès Pierron (Balland, « Les dicos d’Agnès », 2011, 128 p., 8,90 € ).
- DICTIONNAIRE DE LA LANGUE DU THÉÂTRE, d’Agnès Pierron (Le Robert, 2010, 650 p., 24,90 €).
- MANUEL D’ORTHOGRAPHE POUR LE FRANÇAIS CONTEMPORAIN, de Carine Skupien Deckens, Alain Kamber et
Maud Dubois (Éditions Alphil - Presses universitaires suisses, 2011, 196 p., 23 €).
Nos adhérents publient
- Loïc Hervouët est le rédacteur
en chef de L’Année
francophone internationale,
riche et passionnante revue
franco-canadienne, qui, avec
le numéro 2011-2012, fête ses
20 ans. Pour montrer, comme dans le précédent
numéro de l’AFI (voir site
de DLF et DLF, n° 239),
qu’il est « possible d’associer
chanson française et succès
international », Me Jean-
Claude Amboise y publie sa
nouvelle étude sur cette
question : « La chanson
française à l’étranger : succès
et genres musicaux ».
- Dans Jacqueline de Romilly,
Marguerite Yourcenar et la
Grèce antique, une passion
commune (Eurédit, 2011,
286 p., 44 €), Marthe Peyroux
nous offre une très belle
étude des travaux de ces
deux femmes de lettres.
Son site est à signaler aussi :
www.marthe-peyroux.net/.
- Les Mémoires d’un biologiste
de la rue des Écoles à la
rue d’Ulm, de Roland Bauchot
(L’Harmattan, « Graveurs de
Mémoire », 2011, 232 p.,
23 €), retrace le cheminement
d’un poulbot de la
banlieue parisienne au
milieu du monde universitaire
et des relations scientifiques
internationales.
- Les Stress, c’est vivre.
Comment tirer profit de ses
stress ?, du Dr Nicole Baumann
(Mundexpand éditions,
2011, 180 p., 20 €), ou
comment appréhender les
difficultés de la vie.
- Parcours photographique
de plusieurs années : Le Sexe
des arbres, de Colette Pourroy
et Yvan Gradis (VisàVis, 2011,
60 p., 10 €).
- Les éditions Glyphe, dirigées
par Éric Martini proposent une
Vue générale de l’histoire
politique de l’Europe (2011,
164 p., 14 €), d’Ernest Lavisse
(1842-1922), « vulgarisateur
de génie », ainsi que le
Dictionnaire incroyable, de
Jean-Claude Raimbault (2012,
238 p., 17 €), composé
d’expressions extraites de
dictionnaires des quatre
siècles passés.
- L’Enquête russe, de Jean-
François Parot (Lattès, 2012,
504 p., 18,50 €) : Nicolas Le
Floch doit gagner la
confiance du fils de
Catherine II au moment où
l’ancien favori de la tsarine
est assassiné à Paris.
- Daniel Miroux présente et
décrit la langue austronésienne
d’Océanie dans Parlons
iaai. Ouvéa, Nouvelle-
Calédonie (L’Harmattan,
2011, 328 p., 29 €).
- À lire sur l’internet le
Journal (n° 6, janvier 2012)
des éditions Honoré
Champion, rédigé par Jean
Pruvost.
- À Bruxelles, Roger
Vancampenhout a présenté le
livre de Gianni Copetti,
secrétaire général de
l’Assodilit (association pour
la défense de la langue
italienne) : Débats sur les
langues et cultures en Europe
(à paraître).
- À lire sur le site d’Avenir de
la langue française, l’analyse
d’Albert Salon sur le livre de
Claude Hagège : Contre la
pensée unique.
Pour rendre hommage à
François Marie Algoud – qui
était membre de DLF depuis
1965 et qui est décédé le
11 janvier – le numéro de
février 2012 de Lecture et
Tradition lui est entièrement
consacré.
- Dans le 56e et, hélas,
dernier numéro de Poésie-
Partage, Valentine Nisolle-
Glineur affirme : « N’oublions
pas que la maîtrise de la langue
est indispensable pour bien
assimiler l’apprentissage de
l’histoire, des sciences, des
mathématiques, etc. »
- Un Couple, tel est le titre
du nouveau roman de
Georges Memmi, « oeuvre d’une
humanité toute classique »
(Éditions de Fallois, 2012,
256 p., 18 €).
- Plusieurs de nos amis –
John Azarias, Gérard de
Cortanze, Philippe Dumas,
Bernard Leconte, Guillemette
Mouren-Verret, Michel Mourlet,
François Taillandier ont
collaboré à l’une ou aux
deux revues suivantes :
• Livr’arbitres (n° 7),
consacré à Jean Dutourd
(6 €).
• Service littéraire (n° 48),
mensuel de l’actualité
romanesque (2,50 €).
Retour haut de page
Retour sommaire
• Siège administratif : 222, avenue de Versailles 75016 Paris •