Défense de la langue française   
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DLF, n° 272


LA PRUNE, de Marie Treps, très nombreuses et superbes illustrations
Éditions Tohubohu, « Fabuleux fruits », 2019, 176 pages, 22 €
Qui d’autre qu’une experte lorraine eût été capable et digne d’être l’érudite et savoureuse biographe de la prune ? Votre servante, peutêtre, Alsacienne pur jus... Mais fi de ce sentiment d’envie ! Vous allez en apprendre des vertes et des bien mûres au sujet de la mirabelle, petite et ronde, jaune doré, dont on fait de si bonnes tartes. Et la prune violette, à la chair ambrée, si parfumée, la quetsche (prononcez couetche, et c’est un mot alsacien, ah mais…). Et que tire-t-on aussi de la mirabelle et de la quetsche ? Mais un bon petit schnaps, de derrière les fagots, qui « se boit comme du petit lait »... Cependant, la thuriféraire de ces admirables dons de la nature va nous entraîner sur des sentiers beaucoup plus raffinés. De tout temps, les prunes ont connu la faveur des peintres, et les impressionnistes ont fait du prunier en fleur un sujet de prédilection. Elles ont inspiré de nombreux écrivains. Mais aussi, pourquoi la reine-claude s’appelle-t-elle ainsi ? Pourquoi la prune bleue est-elle devenue la prune de Monsieur ?« Faire quelque chose pour des prunes » ? Cela veut dire « se déranger pour rien ». Mais pas du tout, pour des prunes, cela en vaut bien la peine. En tout cas, vous en serez persuadés après la dégustation de cet ouvrage, dont je me dois de vous citer les chapitres : « Une grande voyageuse » ; « Portrait des pruniers et de leurs fruits » ; « Vertus diététiques et thérapeutiques de la prune » ; « La prune dégustée » ; « La prune mise en scène » ; « Paysages et festivités associés aux prunes » ; « Retour en avant » ; « La prune contée ». Solide bibliographie. Et « pour la bonne bouche », une petite astuce si vous souhaitez être à la mode, chères lectrices : dites le plus souvent possible « Prûûûûû... ne... » devant votre miroir ! Nicole Vallée

10 RÈGLES DE FRANÇAIS POUR FAIRE 99 % DE FAUTES EN MOINS de Jean-Joseph Julaud
Points, « Le goût des mots », 2019, 214 pages, 7,20 €
Seulement 10 règles ? Oui, mais à condition d’utiliser avec méthode l’ouvrage prometteur. Car l’auteur, afin de nous mener avec confiance vers cet exploit (faire 99 % de fautes en moins), présente la langue comme un bel atelier de mécanique dont les pièces, une fois reconnues, s’assembleront aisément. L’exposition de ces précieux morceaux s’effectue au chapitre 10, lequel conditionne les précédents. En effet, on y découvre tous les éléments de la grammaire : nom, verbe, préposition, adverbe, adjectif, etc. Puis nous abordons leur fonction, autrement dit, comment les articuler les uns aux autres, sous forme de sujet, complément, épithète.
Mais Jean-Joseph Julaud admet nous conduire sur une route peuplée de « monstres », tapis dans les méandres des accents, des exceptions et de la prononciation. Attaquons donc avec bravoure le périlleux accord du participe passé, les pièges de la conjugaison complète du verbe croire, le pluriel des mots terminés en ou ; et voici retrouvée notre mignonne comptine, bijou caillou chou genou... Robert Desnos en fit même un charmant poème que récitaient autrefois les enfants des écoles.
Enfin, premier et ultime conseil, prendre la ferme décision de cesser d’être « nul ». On la suivra avec plaisir... Monika Romani

De Vita Olibrius S. Aubriot Éditeur, 2018, 5 € (à commander sur le site vitaolibrius.com).
• L’ESPRIT DE LA LETTRE
Voici une grande amoureuse des lettres, toutes celles de l’alphabet, elle les dessine, les chante, et surtout les enchante. Car chacune est porteuse de sens et s’anime tout au long d’anecdotes savoureuses où sont invités Choderlos de Laclos, Valéry, Baudelaire et Chateaubriand, mais aussi nos Marie-Chantal contemporaines. Cependant, la surprise s’appelle Antoine-Pierre-Augustin de Piis (1755-1832), poète et auteur de l’Harmonie imitative, lui aussi fasciné par la musique du verbe. Injustement oublié, Vita Olibrius nous rappelle qu’il gagne à être connu.
• 500 PORTRAITS DE MOTS
D’ordinaire, un dictionnaire se doit d’offrir une définition la plus objective possible des mots. Mais pourquoi ne pas opter pour une autre formule, tout à fait subjective celle-là, et en dessiner des portraits bien personnels, chaleureux et cocasses ? C’est ainsi que Vita Olibrius nous présente ses préférés, au nombre de 500, parmi lesquels Mmes pattemouille, gribiche, mornifle et filoselle ; et MM. friselis, paltoquet et chafouin, ainsi que le ménage cucul-la-praline. Cependant, malgré le parti pris moqueur de l’auteur, on peut lire entre les lignes des caractéristiques bien réelles de ses « personnages » ! Monika Romani


MÉTAPHORES JE VOUS AIME. LE DICO DES BELLES IMAGES, de Daniel Lacotte, illustrations de Loïc Le Gall et Clément Chassagnard
Éditions First, 2018, 256 pages, 16,95 €
La langue française foisonne de belles images, certaines amusantes, d’autres historiques, mais toutes sont savoureuses, picaresques, cocasses, toujours propres à nous réjouir. « Le jeu n’en vaut pas la chandelle » : qui mettra au point la lampe à huile à la fin du XVIIIe siècle ? Le pharmacien français Antoine Quinquet (voir à Quinquet). « En boucher un coin à quelqu’un » : le coin est une sorte de matrice d’acier gravée en creux, permettant de fabriquer monnaies et médailles. « Être de la même farine » : attention, des lascars qui sont de la même farine ne valent pas mieux l’un que l’autre... « Sa langue a fourché » : il ou elle a bien du mal à s’exprimer correctement. « Dormir sur ses deux oreilles » : voilà ce que les insomniaques apprécieraient. « Dormir comme un bébé. Ne jamais s’inquiéter de rien. Dormir d’un sommeil de plomb... » Il y en a plusieurs centaines, je n’ai pas réussi à compter. Index et abondante bibliographie. Nicole Vallée

COQUELICOT ET AUTRES MOTS QUE J’AIME, d’Anne Sylvestre
Points, 2018, édition augmentée, 228 pages, 10,90 €
Bien sûr, chanteuses et chanteurs apprécient des textes qu’ils interprètent, dont ils sont parfois les auteurs, mais ils ne sont pas si nombreux à les commenter, à nous en extraire les mots les plus savoureux. C’est ce que fait aujourd’hui Anne Sylvestre dans cet ouvrage de la collection « Le goût des mots », pour mon plus grand bonheur et le vôtre. Coquelicot, ricochets, marelle, reposoir, frangipane, bric-à-brac, débarouler, île et lac, en grand patarou, amour (évidemment). Quatre-vingt-onze, pas plus, pas moins. « Fanfreluche, on la termine avec la bouche en cul-de-poule... » Mer, « c’est un mot-coffre. Coffre au trésor. De cuir ou de bois précieux... » Coquelicot, « c’est un cri, c’est un appel, c’est un mot de joues rouges et de course folle dans les blés... » « S’esclaffer, c’est partir dans tous les sens, se taper sur les cuisses, taper des pieds, du poing sur la table, [...] se tenir les côtes parce que ça fait mal... » Enfin, Livre : « Quand on est enfant, on ne traverse pas les livres à toute allure, comme on le fait plus tard, mais on s’y installe, on les déguste après les avoir dévorés une première fois. » J’espère que vous allez succomber à la tentation et ne « tomberez pas d’énue »... Nicole Vallée

UN BONBON SUR LA LANGUE. ON N’A JAMAIS FINI DE DÉCOUVRIR LE FRANÇAIS !, de Muriel Gilbert
La librairie Vuibert, 2018, 224 pages, 17,90 €
Cette correctrice d’un grand quotidien du soir nous avait déjà charmés avec Au bonheur des fautes. Confession d’une dompteuse de mots. Eh bien, réjouissons-nous à nouveau : la boîte de bonbons est rouverte ! Que faire si vous ignorez le pluriel d’orignal ? -als, -aux, Larousse et Robert ne sont pas d’accord. Alors, parler d’élans, ou bien d’un deuxième orignal. Le tour est joué ! Le pléonasme est-il une maladresse ou une figure de style ? Descendre en bas, monter en haut ? Bof ! Mais « Je l’ai vu de mes propres yeux vu ». Ça, c’est Molière (Tartuffe). Cela ne va pas « me faire dresser les cheveux sur la tête » (où ailleurs, sinon ?). La bête noire de tous nos concitoyens ? L’abominâââble participe passé, l’une des règles les plus artificielles de la langue française, formulée en 1538 par Clément Marot (honte à lui), prenant exemple sur la langue italienne, qui y a depuis partiellement renoncé (pas fous, nos frères latins). Et le passé simple, les noms de villes, le français au féminin, les pluriels des noms de famille, calembours et mots rares, sigle ou acronyme, la dictée est de retour, abrégeons, mais abrégeons bien... Gare à l’indigestion de ces délicieux bonbons. Nicole Vallée

PENSER LES MOTS, DIRE LA MIGRATION, de Laura Calabrese et Marie Veniard (éds)
Éditions Academia, 2018, 204 pages, 20 € (liseuse : 14,99 €)
Migrants, immigrés, exilés, réfugiés, et même le néologisme dublinés... autant d’adjectifs substantivés ayant en commun d’évoquer des situations instables et souvent tragiques, mais n’échappant pas à une certaine confusion sémantique, que les auteurs de cet ouvrage collectif tentent d’éclairer. Dans un contexte socio-historique et surtout dans l’actualité immédiate, ces termes ont acquis une connotation administrative et juridique. Dès lors, la formule dite performative du philosophe anglais John Austin : « Quand dire, c’est faire » prend tout son sens, parce qu’elle situe d’emblée les mots dans le réel. Mais dans quelle mesure le langage peut-il agir sur les faits ? C’est là un ancien débat, jamais conclu. Pour les tenants du relativisme linguistique, le lexique et la grammaire de notre langue maternelle influent sur les représentations de notre quotidien ; pour une école d’inspiration marxiste, ce sont les événements vécus qui conditionnent la perception de la société. Aujourd’hui le linguiste se situe plutôt dans une position intermédiaire, mais il semble bien que le bruit et la fureur du monde finissent par occulter le poids des mots ! Monika Romani

HOMMAGE AUX MOTS. L’INTELLIGENCE DES DICTIONNAIRES, d’Alain Rey
Hermann, « Vertige de la langue », 2018, 264 pages, 24 €
« L’intelligence des dictionnaires » ! Qui mieux que le grand artisan des Robert pouvait nous la faire partager, dans ce nouvel ouvrage aussi savoureux qu’érudit ? Il a été inspiré par un dialogue avec Giovanni Dotoli (professeur à l’université de Bari) au sujet du « talent » qu’ont les mots de nous surprendre, nous enseigner, nous distraire. Il s’agit de choisir et d’interroger le moindre mot, de lui faire conter son histoire, de retracer sa parabole. On « rend » hommage aux mots, car cela est un dû. En français du XIIe siècle, c’est un acte de soumission, par lequel le vassal se déclare « l’homme », donc le sujet d’un suzerain. Voici quelques-uns des chapitres grâce auxquels se dégage l’importance culturelle des dictionnaires et encyclopédies : « Le dictionnaire, un désordre ordonné »; « La sémantique en dictionnaires » ; « La synonymie, institutrice du sens » ; « Lisibilité, codes et déchiffrages » ; « Espaces clos et débordements du dictionnaire » ; « Le temps inscrit dans le dictionnaire » ; « Du papier à l’écran » ; « Le dictionnaire bilingue, pont interculturel » ; « Paroles méditerranéennes : de l’arabe au français » ; « Spécialités ». Abondante bibliographie. Nicole Vallée

DÉFENSE ET ILLUSTRATION DE LA LANGUE FRANÇAISE AUJOURD’HUI de Michel Serres et Michel Polacco
Franceinfo, « Le Sens de l’info », 2018, 128 pages, 9 €
À ceux qui déplorent la situation de détresse du français, un philosophe académicien [décédé le 1er juin 2019] et un journaliste répondent : non, Du Bellay n’est pas mort. Linguistes, écrivains, poètes et humoristes se chargent à leur façon de continuer son oeuvre. Tout au long d’un dialogue fécond, ils ouvrent leur « boîte à mots », évoquant par exemple Raymond Devos, qui en faisait éclater le sens dans « un banquet somptueux » de rire et d’humour. Et pourquoi pas le capitaine Haddock nous initiant aux figures de style avec ses célèbres jurons, « espèce de synecdoque », « espèce d’antanaclase » ! Afin de faire oublier les néfastes effets du franglais, Michel Serres souligne l’étymologie du terme ordinateur par le Deus ordinator de la théologie. Il énonce deux néologismes concernant le métier de ceux qui arment le béton, les armaturiers. Et l’ovalie, comme l’ensemble des pratiques du ballon ovale. Encore mieux, il nous rappelle que l’Académie a repris dans son Dictionnaire une expression datant du Moyen Âge, concernant l’organisation de la santé dans les hôpitaux, la sauveté. Un cas de résurrection ! Monika Romani

LE LA MINISTRE EST ENCEINTE OU LA GRANDE QUERELLE DE LA FÉMINISATION DES NOMS de Bernard Cerquiglini
Seuil, 2018, 228 pages, 16 €
Lors d’une prochaine réédition, notre très érudit auteur se permettra-t-il de féminiser le nom de nos modernes tricoteuses en « gilettes jaunes » (quitte à être accusé de les comparer à des lames de rasoir) ? En tout cas, cet ouvrage, aussi plein d’humour que de savoir grammatical, vient à point nommé faire la chronique de l’irruption des femmes dans l’univers des fonctions officielles et de leur désignation. Entre le « Tu ne vas tout de même pas exercer un métier qui n’a pas de féminin ! », de Mme Claudel à sa fille Camille, et le « Ici, les féministes ont raison de se battre et je me range à leur côté », de l’académicien Michel Serres, qui a dénoncé l’« imperium » du masculin, c’est une histoire délectable, à laquelle ne manquent aucun argument des protagonistes ni la haute idée de notre langue dont ils sont animés, voire leurs quelques politesses. Impressionnante bibliographie. Précisons pour ceux que cela intéressera : notre linguiste est membre de l’Oulipo. Nicole Vallée

        Signalons aussi :

  • VOYAGE AU PAYS DES BIBLIOTHÈQUES, d’Erik Orsenna, de l’Académie française, et de Noël Corbin (Stock, 2019, 176 p., 14 €).
  • PETIT DICTIONNAIRE INSOLITE DES APTONYMES, de Sandrine Campese, illustrations d’Isabelle Fregevu- Claracq (Larousse, 2019, 174 p., 8,95 €).
  • * * *
  • DU CORPS À L’OUVRAGE. LES MOTS DU LIVRE, d’Éric Dussert et Christian Laucou (La Table ronde, 2019, 288 p., 24 €).
  • LA DOMINATION DE L’ANGLAIS. UN DÉFI POUR L’EUROPE, de Robert Phillipson, préface de François Grin, traduit par Élisabeth Barbey, Bernard Cornevin et Marcelle Provost (Éditions Libre & Solidaire, 2019, 358 p., 24 €).
  • BAYER AUX CORNEILLES ET 99 AUTRES EXPRESSIONS QU’ON N’A JAMAIS (VRAIMENT) COMPRISES, de Julien Soulié (Éditions First, 2019, 208 p., 9,95 €).
  • DICTIONNAIRE DES MOTS PARFAITS, sous la direction de Belinda Cannone et Christian Doumet (Éditions Thierry Marchaisse, 2019, 216 p., 16, 90 €).
  • LA TRANSITIVITÉ VERBALE EN FRANÇAIS, de Meri Larjavaara (Éditions Ophrys, 2019, 114 p., 18 €).
  • LES CHATS MOTS. JEUX DE MOTS FÉLINS, CHARMEURS ET CHALEUREUX, de Daniel Lacotte, illustrations de Pierre Fouillet (Éditions First, 2019, 156 p., 14,95 € ; liseuse : 10,99 €).
  • LE BLED. LES 100 FAUTES À NE PLUS FAIRE !, d’Aurore Ponsonnet, préface de Xavier North (Hachette, 2019, 272 p., 13,95 € ).
  • LE FÉMININ ET LE MASCULIN DANS LA LANGUE. L’ÉCRITURE INCLUSIVE EN QUESTIONS, de Danièle Manesse et Gilles Siouffi (ESF Sciences humaines, 2019, 208 p., 13,90 €, format numérique 9,99 €).
  • LA NUIT, J'ÉCRIRAI DES SOLEILS, de Boris Cyrulnik (Odile Jacob, 304 p., 22,90 €, liseuse 16,99 €).
  • MA GRAMMAIRE ILLUSTRÉE. POUR APPRENDRE EN S’AMUSANT (À PARTIR DE 7 ANS), sous la direction de Carine Girac- Marinier
    (Larousse, 2019, 128 p., 9,95 €).
  • MAÎTRISEZ L'ORTHOGRAPHE AVEC LA CERTIFICATION VOLTAIRE, de Bruno Dewaele et Agnès Colomb, sous la direction de Pascal Hostachy, préface de François Davy (Éditions Eyrolles, à paraître, 24,90 €).
Nos adhérents publient
  • Karin Ueltschi, après avoir publié chez Imago l’Histoire véridique du père Noël du traîneau à la hotte (2012) et la Petite Histoire de la langue française. Le chagrin du cancre (2015), récidive chez cet éditeur avec Mythologie des boiteux et du pied fabuleux. OEdipe, Jacob, Mélusine & Cie
    (2019, 300 p., 24 €), ou comment « gravir les degrés menant vers des univers impénétrables ».
  • Michel de Crousnilhon nous signale son dernier ouvrage, L’Éducation en France : alerte rouge (librairies en ligne, 134 p., 11,60 € + frais de port).
  • À lire dans Les Résonances francophones (mars 2019), « La chanson de la langue française », article de Jean- Claude Amboise.
  • À propos de l’écriture inclusive, Catherine Distinguin analyse, dans Avenir de la langue française (n° 67), Le Sexe et la Langue, de Jean Szlamowicz et Xavier-Laurent Salvador (Éditions Intervalles, 2018, 192 p., 14 €).
  • Georges Rabaroux publie l’un de ses poèmes dans Les Échos de Melun (n° 570) : « Poète et chrétien ».
  • À mettre dans toutes les poches : la nouvelle édition de La Petite Anthologie de la poésie française, de Jean- Joseph Julaud (Éditions First, 2019, 320 p., 3,99 €).
  • Christian Wind a publié, en partenariat avec Dominique Hoppe, un recueil artistique : Les Noces alchimiques du Vent et de l’Esppoir (Publication indépendante, 2018, 76 p., 13,72 €).
  • Christian Massé a présenté, sur le site La Cause littéraire, Les Hirondelles de Kaboul, de Yasmina Khadra (Pocket, 2010, 148 p., 5,95 €).
  • Signalons le tout nouveau livre d’Axel Maugey : Un patron français au coeur de l’Empire chinois (Éditions Unicité, 238 p., 18 €).
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